vendredi 30 août 2013

Merci nos amis de St Louis


Merci  nos amis de St Louis pour avoir relayer l'information.

Il y aura donc un Bureau Postal Temporaire le samedi 31 Août de 15h à 20h en Mairie de Petit-Croix.
A cette occasion, un souvenir philatélique sera donc édité et vendu au pris de 4 € + port (en raison du prix du timbre).

mercredi 28 août 2013

Vin philatélique - A consommer avec modération


On ne peut vraiment pas oublier la philatélie ... même en déplacement.

Cherchant un vin écossais ... blague :-), je suis tombé sur ce petit vin australien mettant en avant notre passion.

Sobriété oblige ... reblague, je vais sans doute le tenter avant mon départ


A quand le Stamp of France?

Par contre, pensez à venir rendre visite au stand APHIEST ce vendredi de 15h à 20h à la Mairie de Petit-Croix pour le BT de Célestin Adolphe Pégoud

samedi 24 août 2013

J-7 pour rendre hommage à Célestin Adolphe Pégoud


Dans une semaine aura lieu devant la stèle déplacée dans le centre de Petit-Croix, un hommage à Célestin Adolphe Pégoud. Nous ne reviendrons pas sur sa vie. Il vous d'aller voir les articles précédents pour en connaître le détail.
Toutefois,pour la 98ème année de sa mort, l'Aphiest-Belfort a proposé de profiter de l'émission du timbre sur le premier saut en parachute pour honorer sa personne.
Pégoud a, d'ailleurs, été récemment choisi pour être l'un des représentants du Territoire de Belfort pour les commémoratifs de la Guerre de 14-18.

Il y aura donc un Bureau Postal Temporaire le samedi 31 Août de 15h à 20h en Mairie de Petit-Croix.
A cette occasion, un souvenir philatélique sera donc édité et vendu au pris de 4 € + port (en raison du prix du timbre).

Ce timbre à date aura la particularité de redonner à Pégoud sont vrai prénom Célestin Adolphe et non Adolphe uniquement.

Commandes possibles auprès de Aphiest-Belfort 33 Rue Leclerc 90300 Valdoie

vendredi 23 août 2013

Belfort - Ville d'histoire aussi

Vous savez que l'Aphiest-Belfort est toujours à l’affût de la possibilité de mettre en valeur sa Ville et son Département. Nous ne pouvions qu'émettre cette proposition au travers d'un article sur notre blog.

Et si Belfort emboîtait le pas de la Ville d'Autun en mettant en valeur son patrimoine, ses manifestations au travers des tickets de stationnement qui deviendront immanquablement des collectors.


jeudi 22 août 2013

Célestin Adolphe Pégoud (4ème partie)


Suite de l'article d'André Larger paru dans l'Est Républicain il y a quelques années.

En 1914, la guerre est survenue, qui a mis fin à toutes les fêtes d'aviation. Qu'êtes-vous devenu?

J'ai été incorporé au 2e groupe d'aviation à Reims, essentiellement pour des missions de reconnaissance et de transport ou recupération d'agents spéciaux derrière les lignes ennemies. pour les états-majors, l'aviation de l'époque était vue comme constituant les yeux de l'armée sur la ligne de front? Ça ne m'a pas empêché de remporter mes deux premières victoires le 2 février 1915. Quelques mois plus tard, en avril, j'ai été affecté à l'escadrille de chasse MS 49 à Belfort.

La chasse, c'est ce que vous désiriez?

 Bien évidemment, car c'est dans cette arme que les qualités d'un pilote peuvent le mieux s'exprimer. Fin juillet, j'avais six victoires à mon actif.

Et quelques semaines à vivre seulement !

J'avais frôlé la mort tant de fois déjà que je n'y songeais même plus. Le 31 août, lorsque j'ai aperçu un appareil allemand en mission photographique au-dessus de Belfort, je n'ai pas hésité un seul instant.
J'ai bondi dans mon appareil, un Nieuport XI, très performant, et en peu de temps, je suis rrivé à sa hauteur. Notre duel a commencé. il était meilleur ce jour-là, il m'a eu; Il fallait un vaincu, ce fut moi.


Votre adversaire est revenu quelques jours plus tard au dessus de Petit-Croix, là où vous vous êtes écrasé, et a jeté une couronne de lauriers, avec ces mots en allemand : "A l'aviateur Pégoud. mort en combattant pour sa Patrie. Hommage d'un adversaire".

c'était cela, les pilotes de ce temps. Des hommes courageux, chevaleresques. J'aurais tant voulu consacrer ma vie à l'aviation. je ne lui ai donné que deux ans et demi, mais quelles années ! Ma brève existence de pilote n'a pas été inutile, j'ai ouvert des voies dont d'autres ont bénéficié. Je me souviens d'avoir dit un jour à Blériot, avant une tentative : "S je meurs, ça fera qu'un aviateur de moins. Si je réussis, que d'existences précieuses conservées à l'aviation". Toute ma courte existence d'aviateur tient en ces deux phrases.

Fin

mercredi 21 août 2013

Célestin Adolphe Pégoud (3ème partie)


Suite de l'article d'André Larger paru dans l'Est Républicain il y a quelques années.

Effectivement. Vous avez dit que cela vous avait donné à réfléchir. En quel sens? Pourriez-vous préciser?

Dans le sens d'une plus grande sécurité des pilotes. Nous connaissions encore mal nos appareils. Nous ne savions pas tout ce qu'il était possible de faire avec eux, jusqu'où nous pouvions les mener. Y avait-il des limites à ne pas franchir? Était-il possible de se rétablir en l'air lorsque, par suite d'un coup de vent malencontreux ou d'une fausse manœuvre, nous nous retrouvions dans des positions inhabituelles? Il y avait là tout un domaine à explorer.

C'est ce que vous avez entrepris ensuite, si je vous ai bien suivi?

J'en avais grande envie mais c'est Blériot qui, le premier, a abordé le problème.

"Ecoute petit, m'a-t-il dit en substance, j'aimerais qu'un jour un pilote tente une montée en chandelle, une boucle et, pourquoi pas, vole la tête en bas. ce doit être possible. L'avion fou, l'autre jour, a fait des choses qu'un bon pilote doit pouvoir reproduire. Qu'en penses-tu?
- Je suis tout à fait d'accord avec vous Monsieur Blériot, c'est dans un domaine du faisable, ça me tente assez.
- Réfléchis bien avant. Le risque est énorme. personne ne l'a encore tenté.
- Ecoutez, Monsieur Blériot, je suis fauché, je n'ai pas de femme et je pensais à me suicider, alors j'accepte, je suis votre homme."

Je m'étais jeté à 'eau, je ne pouvais plus reculer, non pas tant vis à vis de Blériot, il aurais compris, mais surtout vis à vis de moi-même.


Vous avez attendu longtemps avant de vous lancer dans cette tentative risquée?

Il faut toujours battre le fer quand il est chaud. La tentative a eu lieu début septembre à Buc. J'étais très calme lorsque je suis monté dans mon appareil. Je me suis soigneusement attaché. Je savais ce que je voulais faire et, au fond de moi-même, j'étais sûr de la réussite. C'était le matin, l'air était vif. J'ai tenté de mettre mon appareil en déséquilibre, impossible, il s'avérait trop stable. Quatre tentatives, quatre échecs. Je suis redescendu, histoire de souffler un peu et de discuter avec les copains et le patron, et j'ai très vite repris l'air. Cette fois, succès total. J'ai volé près de quatre cent mètres sur le dos. Pari gagné. Ensuite dans l'euphorie du moment, j'ai tenté la boucle verticale, le looping, et ça a marché. Vous auriez dû voir l'enthousiasme à mon retour au sol. J'ai été porté en triomphe.
A suivre

mardi 20 août 2013

Célestin Adolphe Pégoud (2ème partie)


Suite de l'article d'André Larger paru dans l'Est Républicain il y a quelques années.

En effet, pourquoi pas? Mais dites-moi les parachutes existaient depuis longtemps?

Ils sont plus vieux que l'aviation. songez que le premier saut a été effectué le 22 octobre 1797 par Jacques Garnerin, à Paris, depuis un ballon à air chaud. L'idée n'était donc pas neuve. A l'époque où je suis devenu pilote, Bonnet, "un pays", un gars du Dauphiné comme moi, venait de mettre au point un nouveau modèle. Je brûlais d'essayer. je mes suis ouvert de mon idée à Blériot qu l'a trouvé intéressante.

Chromo

Et il a accepté de sacrifier un appareil pour vous permettre d'essayer?

Bien évidement, c'était d'ailleurs dans son intérêt de constructeur. Encore fallait-il trouver l'appareil adéquat car, comme vous l'avez dit, ce dernier, privé de son pilote, s'écraserait immanquablement au sol. Notre choix s'est porté sur un vieux clou sans avenir, un engin hybride, mi-Blériot mi-Borel, un truc poussif tout juste capable d'atteindre tris ou quatre cent mètres d'altitude.

Et la tentative, vous l'avez effectuée quand exactement ?

Le 19 août 1913, dès que j'ai été prêt. Il a d'abord fallu se procurer le parachute et, ensuite, voir comment l'installer. Au moment du saut, il ne fallait pas que les suspentes ou la toile s'accrochent à l'appareil. Finalement, je l'ai placé sur le fuselage, derrière moi, dans une grande boite allongée que les copains, toujours rigolards, ont appelé le cercueil. Le jour dit, j'ai hissé l'aéroplane à deux cent mètres au dessus de Châteaufort. Vous savez où ça se trouve?

J'ai déjà entendu parler de la côte de Châteaufort à l'occasion d'épreuves cyclistes. C'est dans la vallée de Chevreuse?

Exact. C'est bien dans la vallée de Chevreuse, à deux pas de Versailles. Au moment décisif, jai tout de même eu un pincement au cœur mais il fallait y aller. Allez saute, me suis-je dit, pas question que Pégoud recule. J'ai dégagé mon parachute de sa boîte, j'ai enjambé la carlingue et je le suis jeté dans le vide. Le choc des sangles, la descente, rapide. C'est à peine si j'ai eu le temps de jeter un coup d’œil à mon appareil privé de pilote. Au lieu de s'écraser tout de suite au sol, il s'est rétabli un instant et a volé quelques dizaines de secondes dans toutes sortes de positions invraisemblables. Ça m'a donné à réfléchir, après. J'ai atterri dans un arbre et je m'en suis sorti sans problème. Mon but était atteint. J'avais démontré qu'il était possible de sauter en parachute depuis un aéroplane. Mission réussie.
A suivre

lundi 19 août 2013

Célestin Adolphe Pégoud (1ère partie)


Par cette carte postale très représentative de Célestin Adolphe Pégoud, nous ouvrons une série d'articles émanant d'un superbe article d'André Larger paru dans l'Est Républicain il y a quelques années.
André Larger était l'un de conférenciers de Timbres Passion Belfort 2012 et Pégoud sera à l'honneur le 31 août prochain dans le Territoire de Belfort

Pégoud, le roi des airs

Carrière brève, mais glorieuse que celle de l'aviateur interrogé aujourd'hui par André larger. Compagnon de Blériot, il a été abattu le 31 août 1915, au dessus de Petit-Croix.

Il est, dans le domaine de l'aviation des noms qui font rêver : Blériot, Roland Garros, Guynemer, Saint Exupéry, Mermoz, et le vôtre : Pégoud.

Et pourtant, je n'ai volé que deux ans et demi. C'est peu, si peu. Je voulais faire tant de choses.

Avant d'en venir à vos exploits, pouvez vous nous dire comment vous est venu cette passion pour l'aviation naissante?

Au départ, rien ne prédisposait à devenir pilote. L'aviation n'existait même pas lorsque j'ai vu le jour. Etant né dans une famille d'agriculteurs du Dauphiné, j'ai eu d'abord comme but premier la réussite au certificat d'étude. Ensuite, muni de ce précieux parchemin, je suis entré en apprentissage chez un boucher. La viande, ce n'était pas mon truc, aussi à 14 ans suis-je parti seul à Paris. Dur, très dur. Quatre ans de vaches maigres, si je puis dire, avant de devancer l'appel. Après deux ans passés en Afrique, je suis revenu en France où j'ai connu le capitaine Louis Carlin, un mordu d'aviation. Il m'a fait partager sa passion. Nommé au camp de Satory, il m'a fait venir auprès de lui, en qualité de mécanicienet, souvent, il m'a permis de voler en sa compagnie. Sublime.

Quant êtes-vous devenu effectivement pilote?

Une fois libéré de mes obligations militaires, je n'ai plus eu qu'une idée en tête : voler, mais voler seul. Braver l'espace, un rêve fou que j'ai réussi à concrétiser. un mois après mon retour à la vie civile, j'ai passé mon brevet de pilote. C'était le 7 mars 1913. J'ai obtenu le brevet numéro 1243. Une semaine après, j'entrais chez Blériot comme mécanicien.


Blériot, le vainqueur de la Manche?

Et l'un de plus talentueux constructeurs français. Très vite, il a remarqué mes qualités de pilote et j'ai volé, volé tout mon saoul, jusqu'à plus soif. J'ai beaucoup réfléchi aussi. Je n'étais pas une tête brûlée comme on le crois trop souvent. tout ce que je faisais était mûrement réfléchi. Les accidents à l'époque, en 1913, étaient nombreux, très nombreux à mon goût. Bon sang me disais-je, si les pilotes, en cas de difficulté, pouvaient évacuer leur appareil avant qu'il ne s'écrase au sol, beaucoup seraient sauvés. ce n'est pas le tout de voler, il faut aussi le faire avec une sécurité maximale. Et pourquoi ne as utiliser un parachute? On a bien sauté en parachute depuis des ballons, pourquoi pas depuis un avion?
A suivre

mercredi 14 août 2013

Permis électrique

 

C'est le 14 août 1893 que l'ancêtre de notre permis de conduire voit le jour sur une ordonnance du Préfet de Paris. Il crée un "certificat de capacité permettant d'être employé en qualité de conducteur d'un véhicule à moteur".
Toutefois, c'est le 10 mars 1899 que naît officiellement notre permis à point.


Et pour celle-ci? Permis ou non?

mardi 13 août 2013

Un certain 13 août


Le 13 août 1899, c'est le jour de naissance d'un monstre du cinéma, Alfred Hitchcock, qui passa du muet au cinéma sonore et le la nationalité britannique à américaine.


Tiens, nos amis américains ne font pas le 1er Jour, le jour exact du l'anniversaire.


vendredi 9 août 2013

Le Portail du Timbre fait la promo


Une fois n'est pas coutume, le Portail du Timbre fait la promo d'une activité non philatélique (Le portail du timbre).
Bonne initiative pour un lieu que je vous recommande aussi pour y avoir vécu un concert intimiste dans un lieu magique, il y a quelques années.
A vivre si vous avez envie de découverte ... et c'est pas si loin pour nous, belfortains


Un petit rappel du timbre émis en 1963


avant un petit moment musical avec Giovanni Bellucci


jeudi 8 août 2013

L'Aphiest à La Table


Hier, mercredi 7 août, le Comité de l'Aphiest était à La Table.

L'Institution Ste Marie étant fermée en raison des congés scolaires, le Bosphore n'ayant plus de salle de réunion, nous sommes donc allé tester le Restaurant du Techn'Hom : La Table.

Après une réunion très constructive, nous avons terminé sur un cocktail dînatoire bien mérité avec tous les événements philatéliques de ce premier semestre. Copieux, original et convivial. Opération à retenir pour l'avenir.

Dommage, pas de photo prise lors du cocktail.

mercredi 7 août 2013

Conquête spatiale


C'est le 7 août 1959 que la NASA lance une petite sphère de 60 cm de diamètre.
Mais quelle sphère !
Explorer VI

  • C'est le premier satellite équipé de panneaux solaires.
  • C'est le premier satellite qui transmettra les premières images de la Terre vue de l'Espace
  • Et quelques temps après, les premières images télévisuelles

mardi 6 août 2013

ADPhile et Aphiest-Belfort mêmes couleurs


Le 20 novembre 2011, l'Aphiest-Belfort se relookait son logo.

Découverte sur les papiers officiels reçus ses jours derniers et sur les affiches de la Fête du Timbre, l'ADPhile en a fait de même ces dernières semaines


Surprise, et notre graphiste nous a fait la même remarque, les couleurs sont presque identiques.

Aurions nous flairé les futures couleurs de la philatélie nouvelle en 2011?

Certains bruits annoncent un nouveau logo pour la FFAP. Quelles couleurs?

lundi 5 août 2013

Le 5 août nous fait reparler du Timbre de Belfort


Quel est la raison de cet article sachant que l'objectif premier étant de rappeler ce qui s'est produit un 5 août 1884?

La citadelle ... non
Schongauer .... non
Le Lion ... non
Bartholdi .... un peu
la Statue de la Liberté ... beaucoup

C'est tout simplement le jour de la pose de la première pierre devant 500 personnes et à l'aide d'une truelle en argent que le socle fut scellé.

dimanche 4 août 2013

Retour sur l'histoire, l'Aphiest et le 4 août


Fidèle à ses engagements, l'Amicale Philatélique de l'Est est toujours à l’affût des moments d'histoire (on travaille d'ailleurs pour 2014).
Habituellement, plus proche de l'histoire locale et départementale, elle se doit aussi de couvrir les grands moments de l'Histoire de France .
A l'occasion des événements philatéliques qui se sont passés lors du Bicentenaire de la Révolution, Belfort bénéficiait d'une vente anticipée.
Et le Président Knapp avait obtenu un accord avec les imageries d’Épinal pour l'utilisation de leur série de cartes.

 et la Nuit du 4 Août était dans la série de cartes

Mais que s'est-il passé cette nuit là? - voir le détail en cliquant sur le lien 4 Août 1789

samedi 3 août 2013

Quel en est l'intérêt? Ne voulons nous pas aller vers les jeunes?



En 2009, nous avions eu la chance d'avoir le superbe Bloc Astérix en vente anticipée mais le 1er jour était un mercredi.
Difficile de mobiliser les bénévoles et surtout le public, impossibilité de monter une exposition d'envergure puisque les associations ou organismes ne pouvaient se déplacer en semaine.
Bilan, malgré une agressivité médiatique et un tractage important (affiches et flyers), la réussite n'était pas au rendez-vous puisque les collectionneurs retraités sont venus le matin et malgré un mercredi, les jeunes sont restés aux abonnés absents.
Heureusement, l'opération n'a pas été déficitaire et ce, grâce au Conseil Général du Territoire de Belfort qui avait mis à notre disposition ses locaux.


Cette année, arrivée de Marianne et la Jeunesse avec un premier jour le lundi.
Bis repetita, du monde le matin ... les collectionneurs retraités et le vide l'après-midi.
Pourtant, très gros soutien médiatique.
Ateliers jeunesse avec vidéo et CD rom et .... 3 jeunes.
Heureusement encore, l'opération n'a pas été déficitaire et ce, grâce à la Municipalité de Delle qui avait mis à notre disposition la Halle des 5 Fontaines.

N'y aurait-il pas un souci de choix de date?

On dit trop souvent que la philatélie est un monde de vieux mais on fait tout pour avec ses choix de dates en semaine.
On veut aller au-devant de la Jeunesse mais nous ne mettons pas toutes les chances de réussir de notre côté.
Encore cette semaine avec le 1er Jour Doumergue avec un vendredi.
A moins que les horaires soient calés sur l'ouverture du Carré d'Encre?

Un 1er jour doit être une fête pour la Poste locale et pour le bénéficiaire (ville et association philatélique), où exposition philatélique se mêlent avec des expositions attractives, historiques et créatives ... telle une exposition itinérante.

Phil@poste doit impérativement revoir sa politique dans ce domaine. Un 1er Jour doit impérativement être un samedi/dimanche afin que le dimanche donne la possibilité à tous de venir.

Toutefois, l'association philatélique qui sera en charge de la manifestation pour ce timbre, si difficile à avoir, doit faire preuve de création et d’innovation en organisant une manifestation digne de ce nom avec des animations et pas seulement quelques cadres.
Le timbre doit être le point central d'une très belle fête et non une inauguration pour personnes autorisées.

Ne faudrait-il pas obliger, lors des dépôts de dossier pour l'obtention d'un timbre, d'ajouter une présentation de la manifestation prévue avec les lettres d'engagement des associations et organismes relatifs à la future fête. Autre solution, pourquoi, ne pas émettre un cahier des charges entre la FFAP, l'ADPhile et Phil@poste qui serait obligatoire à suivre pour les futures acquéreurs de ce Graal.
A méditer

vendredi 2 août 2013

C'est arrivé un 2 août


C'est le 2 août 1799 que nous a quitté Jacques Etienne Montgolfier, inventeur de la Montgolfière qui sera à l'honneur avec le thème de l'air à l'occasion de la Fête des Philatélistes, anciennement appelée la Journée du Timbre et aujourd'hui la Fête du Timbre.

L'occasion nous est donné de rappeler quecette année, la Fête du Timbre se déroulera les 12 & 13 octobre à Rougegoutte pour le Territoire de Belfort
Bloquez vos agendas

jeudi 1 août 2013

C'est arrivé un 1er Août


Aujourd'hui, la Poste émet en 1er Jour le jour même de sa naissance un timbre en l'honneur de Gaston Doumergue.

Sa particularité : être le premier Président de la République a se marier durant son mandat

Pour en savoir plus sur la personne, lire Gaston_Doumergue

Et sur l'émission, un petit clin d'oeil au Portail du Timbre : Le Portail du Timbre


Quelques timbres dit "illégaux" émis avec son effigie